Je regarde souvent comment les gens en Occident parlent de "mettre fin à l'occupation." Ils croient que nous demandons à Israël de quitter la Cisjordanie ; des endroits comme Hébron, Ramallah, Naplouse, Bethléem ou Jénine pour que nous puissions vivre librement dans notre propre pays à leurs côtés. Pour eux, cela semble juste, pacifique et raisonnable. Mais voici la vérité qu'ils ne comprennent pas : Quand la plupart des Palestiniens parlent d'"occupation", ils ne parlent pas de 1967. Ils parlent de 1948. Ils veulent dire Tel Aviv, Haïfa, Jaffa, Be'er Sheva, Acre, Lod, Ashdod. Chaque partie d'Israël. Pour beaucoup, l'expression "mettre fin à l'occupation" ne signifie pas mettre fin au contrôle des territoires. Cela signifie mettre fin à l'existence d'Israël dans son ensemble. Et c'est exactement pourquoi la paix n'avance jamais. On ne peut pas construire la paix quand votre objectif est d'effacer votre voisin.

Son nom est Munir Hammad Salam Al-Ayyadi, un Palestinien noir. Hamas l'a accusé de trafic de drogue, mais son véritable "crime" était celui-ci : il a remercié Trump et Netanyahu pour l'aide alimentaire de @GHFUpdates qui a aidé à nourrir sa famille. Pour cela, ils ont laissé tomber une lourde pierre sur son pied, puis ont frappé le même pied avec un bâton, tandis qu'il criait de douleur. Je partage la vidéo parce que le monde doit voir ce que fait Hamas aux Palestiniens qui osent penser différemment. Et pourtant… silence. Silence de ceux qui prétendent défendre la "justice". Silence des activistes occidentaux, des célébrités, des voix de "Black Lives Matter" qui explosent de colère - mais seulement lorsque l'histoire correspond à leur récit. Si cela s'était produit ailleurs, il y aurait eu des hashtags, des manifestations et des discours. Mais parce que cela ne sert pas la "bonne" histoire, ils détournent le regard. Que sont devenus vos valeurs lorsque la vérité ne correspond pas à votre récit ?

Je ne suis pas un cadre d'une vidéo. Je suis une vie. J'ai un nom. J'avais des gens qui m'aimaient et une vie de petites choses ordinaires : une tasse de café que je n'ai jamais terminée, une blague que j'ai racontée à mon frère, une rue que je parcourais chaque jour. J'ai été traîné à genoux, les mains liées derrière moi, le dos tourné aux hommes qui ont décidé qu'ils avaient le droit de mettre fin à ma vie. Ils se tenaient au-dessus de nous et nous ont tiré dessus en public pour envoyer un message. Je me suis opposé à la cruauté qui a volé tant de choses à nos quartiers ; j'ai parlé quand je pensais qu'un chemin différent pouvait sauver plus de vies, pas moins. Pour cela, je suis mort maintenant, mais ma supplication est simple : ne laissez pas ma mort devenir une victoire pour le meurtre. Cette exécution ne guérira rien. Elle ne fera qu'amplifier la souffrance : des mères qui ne dormiront pas, des enfants qui porteront la peur, des communautés qui seront moins humaines à cause de cela. À ceux qui ont applaudi ou justifié cet acte : demandez-vous ce que vous avez gagné. Le pouvoir pris par la terreur est une chose creuse. À ceux qui peuvent agir : journalistes, activistes, amis, quiconque ayant une voix - racontez mon histoire. Appelez à des enquêtes, à la responsabilité, et à la protection des civils. Au monde : ce n'est pas une affaire interne à ignorer ; c'est une vie humaine mise fin devant une caméra, et cela exige une condamnation. Souvenez-vous de moi. Prononcez mon nom. Condamnez le meurtre. Exigez que ceux qui règnent par la peur soient tenus responsables.