BANNON : Ces enfants ne détestent pas le capitalisme. Ils n'ont jamais eu la chance d'y accéder. Ils sont à la merci du corporatisme, tout comme les serfs russes avant les bolcheviks. Nous avons besoin de plus de capitalistes. Une façon de leur donner du capital n'est pas seulement de meilleurs salaires, c'est du revenu. Donnons-leur un petit investissement dans la structure financière du pays. Vous pouvez le faire par réallocation.